carte d'Europe avec zoom sur la Manche

[Rêve dans un rêve] Comment hacker son smartphone avec Alex Turner

Ce rêve est particulièrement frais, résultat d’une sieste éternelle (nom que je donne à mes siestes de fin d’après-midi qui durent plus de 2 heures) un samedi après-midi, dans une semaine compliquée émotionnellement sur un plan introspectif.

Brighton, avec Alex Turner et Lucifer

Je déambule dans une ville moderne, lisse, aux trottoirs trop propres, sans voitures, aux murs parfaitement identiques. Ces murs sont faits de jolies briques grises et de grandes baies vitrées. Le métal souligne les lignes des bâtiments. Le silence règne, malgré la foule qui se promène comme moi, sans but.

Je suis en bord de mer, pourtant, je le sens. Mais dans quelle ville ?

Je discute avec des amis sur Whatsapp en marchant, et constate qu’un nouveau numéro a rejoint notre conversation… Je ne comprends pas, puis vois son alias : thorpe ? C’est donc un ex qui revient ? Flo ? Pourquoi ? Puis, au vu des informations données de sa part, non, c’est Philippe [ndlr : là ça date, vraiment, mais l’inconscient… surtout le mien concernant l’amour, haha.], et j’ignore pourquoi, et surtout comment, il se retrouve là. J’avance toujours dans la ville, et au détour d’une rue, y vois une terrasse couverte, faite de gigantesques baies vitrées. Je m’en approche, et me pose en terrasse avec des inconnus pour voir s’ils peuvent m’aider. Se penche alors vers moi, Lucifer (l’acteur de la série homonyme), qui hoche la tête l’air de ne rien comprendre à mon souci. Le groupe me recommande de rejoindre quelqu’un qui s’y connait, et je retrouve donc Alex Turner ! Il me dit que mon téléphone et celui de Philippe ont été hackés ! Il me montre comment on fait : il suffit de glisser son pouce sur la caméra arrière du téléphone pour activer l’entrée d’un numéro dans une convo de groupe.

Je suis ravie, je comprends enfin mon souci, et sans me soucier de le résoudre, je change d’idées. Je pense à mes affaires en cours, me dis que je dois passer récupérer un colis. Pour cela, je veux prendre la ligne 8 du métro (la violette de Paris, bien entendu), fais demi-tour pour prendre l’entrée la plus proche qui est… Madeleine bien entendu !

Le voyage se déroule très rapidement.

Petit laïus métro : normalement, dans mes rêves, je me perds dans les couloirs du métro, ou entre les voies qui s’enchevêtrent. Trop de trains, trop de voies, trop de monde : panique totale. Souvent, me retrouver là me réveille… mais pas cette fois-ci.

Je sors du métro, la sortie ressemble à s’y méprendre à une gare de train : celle de Lille Flandres. Et je vois un monde fou faire la queue pour récupérer des colis, à la Poste à la sortie de la gare. Je me dis que j’ai bien d’avoir déjà récupéré le mien plus tôt, je juge carrément cette masse de gens. (L’inconsistance de mes pensées en rêve, je sais.)

La fin d’un rêve ? Non, le début d’un autre.

Et, forcément, je me réveille… dans mon rêve pour aller dans un autre rêve, pour y raconter ce que je viens de vivre en rêve à des amis !

Je retrouve Maud et Alain. Nous sommes en terrasse sur les quais de Seine, niveau BNF, sur des tables avec bancs, à boire des bières. Il faut beau et chaud, tout va bien.

Je leur raconte donc mon rêve, et ça fait rire Maud, qui trouve que ma description de cette ville lui rappelle Brighton ! « Oui, possible », lui réponds-je.

Et elle sort une carte d’Europe de son sac, une vieille carte qui a vécu, où elle me situe Brighton. Mais la carte est à l’envers pour moi, je ne suis sûre de rien : Brighton, c’est sur une île au large de la côte néerlandaise, mais pas en Angleterre ?

Partage ma prose !

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *