Nuit agitée, notamment à cause d’un rêve encore une fois bien étrange. Rêve qui a tourné au cauchemar, si j’en crois mon état au réveil, dans la nuit : haletante, immobile, tétanisée même, inapte à tourner la tête, trouvant ma bouche si sèche…
Alors que le rêve, en soi, est une évasion magique – mais la fin … non
Oh mais quelle jolie machine !

J’avais construit comme un superbe sous-marin, qui faisait office de vaisseau spatial, il était digne des plus beaux Nautilus imaginés par Jules Verne ! Une bulle de cuivre, avec des fenêtres, une table de navigation, j’avais mon équipe autour de moi (composée de je-ne-sais-qui, faut pas déconner) et nous emmenais visiter les contrées de l’espace ! Un tour au-dessus de Jupiter, un détour vers un supernova, nous visitions l’univers car j’avais créé un appareil capable de courber l’espace-temps ! Mon espèce de sous-marin était le vaisseau ultime de voyage, et j’en étais fière !

Electrique
Après une belle balade dans l’univers, je me décide à rentrer à la maison, mon vaisseau sous-marin est posé à Etel, sur le parking des autocars étellois, à côté du cimetière. Pas de porte pour sortir dudit vaisseau, mais une sorte de miroir/eau à la Stargate SG1, que je traverse. Je me retrouve enfin dehors !
Et je réalise une erreur : pour courber l’espace-temps, j’avais besoin de beaucoup d’énergie – genre vraiment beaucoup. J’avais donc également créé un apparail capable de rendre les orages très violents, pour ensuite récupérer l’énergie qui se dégage de la foudre. (J’étais un génie dans ce rêve, sérieusement !)
Et donc, un orage insensé est en cours, sur ce fameux parking, l’électricité monte, je sens que la foudre va tomber, pas loin de moi, mais sa puissance dépasse l’entendement. Je me dis qu’il faut que je me mette à couvert, et cours, afin d’aller me réfugier chez ma mère, dans une vraie maison. Je cours, donc, en tongs (OUI), sens l’électricité statique si forte autour de moi, et cours, et … me réveille.