Eiffel et Fondation Louis Vuitton

Mes sorties rock & co. de mai !

Bon je suis encore trop irrégulière à la rédaction. Encore un changement de mission côté conseil, pour ceux que ça intéresse – et pour me justifier. Donc en retard, les (rares) albums qui m’ont marquée en mai, let’s go !

Lost in Kiev – Persona

Okay je triche, il est sorti fin avril, mais je ne l’avais pas écouté. C’est chose faite, et même mieux, je l’ai apprécié en live cet album ! Que de renouveau dans le son proposé par le groupe ! Plus d’arrangements électro qui pour une fois, sont au service du post-rock mâtiné de la formation. Au top ! A écouter ci-dessous avec le 1er titre homonyme de l’album :

Unwed Sailor – Heavy Age

Découverte du mois, avec le son planant des Américains de Unwed Sailor et leur drone ambiant post rockien. A écouter posé chez soi, ci-dessous Disintegrate (Et j’adore la pochette de l’album, aussi !)

Efrim Manuel Menuck & Kevin Doria – are SING SINCK, SING

Encore un projet du musicien pluri-groupe de Montreal, membre de Godspeed You! Black Emperor, et de Thee Silver Mt. Zion, enfin digne représentant du doux label Constellation (oui, encore eux.). C’est… étrange, il faut aimer le drone ambiant sans construction. Mais ça plane, alors j’adhère – mais pas tous les jours, c’est vrai.

Et en vrac :

Big Bend et son doux Radish, moins rock planant que les découvertes précédentes, plus accessible, avec de l’électro qui rappelle gentiment Sohn, ou un Nils Frahm qui lâcherait ses 19 claviers et prendrait parfois une gratte. Ca se tente bien.

Tim Hecker et Anoyo, my my, ça monte bien, mais il manque la petite étincelle qui fait que cet opus resterait dans son parcours. C’est décousu, tendre et triste, à ne pas écouter quand on a le moral dans les chaussettes, aussi.

Archive et son 25, pour les 25 ans de la formation. 8 inédits au compteur, et on aura toujours un immense plaisir à tout écouter de leur discographie riche et évolutive. Mention spéciale au duo avec les Band of Skulls pour un Remains of nothing un peu rappé. Excellent en live, en plus.
This could be heavenly now, or is it really a myth ?

Et Interpol, forcément, avec l’EP A Fine Mess, 5 titres construits l’année passée en tournée, dont le 1er single me va bien… ‘Cause you and me make a fine mess…

Partage ma prose !

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